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The killer inside me

Littérature noire

entretiens

13/06/2014 Publié depuis Overblog

Douglas Kennedy à Bastia : " en Australie, une femme de 200 kilos avait décidé que j'étais l'homme de sa vie.."

Il surgit tel qu’on l’imagine : lunettes noires et petit short. A la fraîcheur de l’ombre du Pietracap, Douglas...

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05/05/2014 Publié depuis Overblog

Hervé Le Corre : " il y a peu d'écrits sur la collaboration des Bordelais avec les Allemands... "

Dernière rencontre réalisée il y a un mois à Lyon lors de Quais du Polar : Hervé Le Corre, pour son troisième roman...

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24/04/2014 Publié depuis Overblog

Craig Johnson : " le courage de Tony Hillerman lorsqu'il a publié son premier roman en 1967..."

Sans le bouc qui lui ceint parfois le menton mais avec son Stetson, Craig Johnson a débarqué à Quais du polar,...

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17/04/2014 Publié depuis Overblog

Eric Maravélias : " j'ai voulu prendre la force de Bunker et la poésie de James Lee Burke..."

Une bonne baffe, La faux soyeuse. Au départ, pourtant, on regarde avec incrédulité ce jeu de mots un peu... facile...

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14/04/2014 Publié depuis Overblog

James Ellroy à Quais du Polar : " je me réveille à trois heures du matin, je travaille.. et je me recouche "

Le roi sans partage du roman noir était en France le week end dernier à l'occasion de la 10e édition de Quais du...

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14/03/2014 Publié depuis Overblog

Marie Neuser : " je ne pensais pas que ce que j'écrivais était du roman noir..."

A 43 ans, Marie Neuser a fait une entrée fracassante dans le monde de la littérature noire. Cette enseignante d'italien...

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01/03/2014 Publié depuis Overblog

Daniel Pennac : " je ne commence à écrire que lorsque j'ai toute l'histoire dans ma tête "

En tournée " internationale " (il passe par plusieurs villes d'Italie !), Daniel Pennac joue tous les soirs son...

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05/02/2014 Publié depuis Overblog

De sa voix posée, entre deux bouffées d'une cigarette indubitablement féminine, elle raconte. " Je suis, ou plutôt j'étais, parce que l'écriture ça prend du temps, une grand lectrice. Je reste particulièrement sous le charme de la littérature américaine. Avec en premier lieu Jim Harrison et Cormac Mc Carthy. Des conteurs de très haut niveau. C'est ce que j'aime chez les écrivains de là-bas : leur livre passe avant eux. En France, on le sait, c'est très nombriliste. Exception faite de Houellebecq, dont j'aime toute l'oeuvre à part peut-être La carte et le Territoire... Enfin, j'aime aussi les premiers romans d'Amélie Nothomb. J'aime même le personnage qu'elle incarne. A l'inverse, je ne supporte les auteurs qui prennent la pose, comme Angot par exemple. " La discussion digresse sur des auteurs dont on se promet de s'envoyer telle ou telle oeuvre, de lire dès que possible tel titre ou celui-là. Mais c'est bien de Petite Louve dont il s'agit. " Il devait sortir à L'Ecailler, j'avais rencontré Guy Firroloni (édition Alibiana, à Ajaccio) qui avait l'air intéressé et m'avait d'ailleurs donné un livre de Marie Neuser parce que mon livre lui rappelait ses romans... Mais L'Ecailler a des problèmes financiers donc je me suis tourné vers d'autres éditeurs. Rapidement Pierre Fourniaud, de la Manu', m'a donné une réponse positive : cela lui plaisait, il voulait le publier. On est donc entré dans la période relecture. Il est très méticuleux mais aussi très présent comme soutien. " C'est lui qui lui demandera de retirer le meurtre de Christelle par Ari, dans le caboulot de Bastia. A l'arrivée, le roman est compact, très tendu avec énormément d'originalité. " Il faut croire en ses personnages, poursuit Marie Van Moere, cette fois attablée devant un calzone fumant... Je m'attache à ce que leurs actions et leurs réactions soient le plus en cohérence possible. Je les aime tous mes personnages. Même les gitans. OK, ce sont les méchants mais bon... J'avais eu une première volonté d'écrire sur les gitans mais ça n'avait pas vraiment fonctionné. J'ai gardé ça dans un coin de mon cerveau. Ce qui m'intéresse aussi dans l'écriture, c'est de donner de temps en temps des pages de sens. Comment dire ?... Qu'il n'y ait pas qu'une histoire gratuite. Comme quand je raconte l'histoire des gitans de l'Est de la France. Ou que la mère va courir dans le Cap Corse vers cette statue de Sainte Devote, tournée vers l'île et non pas vers l'horizon. D'ailleurs la Corse, elle-même, a une sacrée portée : cela devait être un lieu de repos pour la mère et la fille, ça devient un cul de sac mortel... Sans être trop lourd, le livre doit contenir des éléments symboliques. " Comme Petite Louve, la fille violée, qui n'a plus de nom dans le roman mais qui part en vacances en Corse avec, ce n'est pas un hasard, Moby Dick, roman initiatique gigantesque, qu'elle abandonnera dans une conclusion sanglante mais, paradoxalement, apaisée. Petite Louve explore avec finesse tous les ressorts du sentiment familial, voire tribal. Avec une question tout de même assez centrale : l'honneur. Celui d'une mère, celui de frères mais aussi celui d'un homme " retiré des affaires ". La plume de Marie Van Moere est suffisament nouvelle pour que les lecteurs amateurs de surprises s'y intéressent. Petite Louve, Marie Van Moere, édition La manufacture du livre, 268 pages, 18 euros.

Un premier roman, c'est évidemment un sacré challenge. La peur du vide. A 36 ans, Marie Van Moere l'a franchit...

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26/08/2013 Publié depuis Overblog

Jacques Mailhos (traducteur) : " l'oeuvre de Ross McDonald a été saccagée "

En littérature étrangère, le choix du traducteur est capital. Et pourtant, trop souvent ignoré des lecteurs. Depuis...

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13/07/2013 Publié depuis Overblog

Jean-Hugues Oppel : " j'accumule de la doc pour écrire un western financier "

Il y a là Marie Ferranti, Didier Daeninckx, Denis Parent, Antoine Blocier, Antoine Albertini...bref ils sont plus...

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